1er janvier 1997. Pour la première fois, un subsaharien est le visage de la diplomatie mondiale. Le Ghanéen Kofi Annan, qui arrive à la tête de l’ONU, ne cache pas son ambition de « rénover les Nations unies ». Mais en aura-t-il les moyens ?
1er janvier 1997. Pour la première fois, un subsaharien est le visage de la diplomatie mondiale. Le Ghanéen Kofi Annan, qui arrive à la tête de l’ONU, ne cache pas son ambition de « rénover les Nations unies ». Mais en aura-t-il les moyens ?
Histoire singulière que celle de ces affranchis, de ces arrière-petits-enfants d’esclaves, revenus sur la terre de leurs ancêtres après l’abolition de la traite négrière. Souvent par la porte du non retour à Ouidah que l’on n’était pas censé franchir à rebours.
Thomas Sankara aux côtés de François Mitterrand, lors du 10e sommet franco-africain de Vittel, le 3 octobre 1983
Léopold Sédar Senghor, premier président de la République du Sénégal, poète, grammairien et premier Africain admis à l’Académie française.