Face à l’ascension fulgurante du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) et l’intense activité diplomatique d’Amilcar Cabral, le Portugal, pour se défendre, déploie d’importants moyens militaires.
Face à l’ascension fulgurante du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap-Vert (PAIGC) et l’intense activité diplomatique d’Amilcar Cabral, le Portugal, pour se défendre, déploie d’importants moyens militaires.
C’est l’histoire d’un homme qui ne voulait pas faire de politique. L’histoire d’un civil qui a été installé au pouvoir par des militaires, à la place de son beau-frère, qu’ils ont assassiné. Arrivé à la présidence du Togo à l’issue d’un putsch auquel il n’a pas participé, Nicolas Grunitzky a été le deuxième président du pays. Il s’est maintenu au pouvoir de 1963 à 1967, avant d’être lui-même destitué par un coup d’Etat, celui de son ancien allié Étienne Gnassingbé Eyadema. Retour sur le parcours d’un personnage singulier. L’un de ceux qui ont tracé les contours de ce qu’est le Togo aujourd’hui.
16 septembre 1960. Palais de l’Élysée, Paris. Le Premier ministre, Sylvanus Olympio, serre la main du général de Gaulle, entouré de son Premier ministre, Michel Debré (g) et le ministre des Affaires étrangères, Maurice Couve de Murville
Une silhouette élancée et un visage assombri par une barbe à la Castro, Odumegwu Emeka Ojukwu proclame l’indépendance du Biafra le 30 mai 1967. Une décision qui va le faire connaître du monde entier, mais à quel prix ?