"Nul n'a le droit d'effacer une page de l'histoire d'un peuple car un peuple sans histoire est un monde sans âme." Alain FOKA

Afrique Australe

5- José Eduardo dos Santos : mort du rebelle Savimbi et retour de la paix en Angola (9&10)

Le rebelle Jonas Savimbi mort et la paix revenue en Angola après 27 années de guerre civile, José Eduardo dos Santos se présente comme l’homme qui a ramené le calme et promet de reconstruire le pays pour un faire une puissance continentale. Il bénéficie de la hausse des cours du pétrole et multiplie les partenariats.

4- José Eduardo dos Santos: avec les accords de Bicesse, l’Angola rêve de paix (7&8)

31 mai 1991. À Estoril, station balnéaire portugaise, le président angolais JoséEduardo Dos Santos et le chef de l’Unita (Union nationale pour l’indépendance totale de l’Angola) Jonas Savimbi signent les accords de paix de Bicesse et mettent fin à seize années de guerre civile. Mais pour combien de temps ? Les belligérants respecteront-ils les termes de ces accords ? L’Angola pourra-t-elle profiter durablement de ce premier répit depuis son indépendance ?

3- José Eduardo dos Santos, président d’une Angola déchirée par la guerre civile (5&6)

1975. Après plus de 400 ans de colonisation portugaise, l’heure de l’indépendance de l’Angola a sonné. Contrairement aux autres territoires où le colonisateur a placé un chef à la tête du jeune État au moment de l’accession à la souveraineté internationale, le Portugal a quitté le pays sur la pointe des pieds, laissant face à face les différents mouvements de libération qui le combattaient.

2- Angola: de la guerre d’indépendance à la guerre civile (3&4)

1975. Après plus de 400 ans de colonisation portugaise, l’heure de l’indépendance de l’Angola a sonné. Contrairement aux autres territoires où le colonisateur a placé un chef à la tête du jeune État au moment de l’accession à la souveraineté internationale, le Portugal a quitté le pays sur la pointe des pieds, laissant face à face les différents mouvements de libération qui le combattaient.

1- José Eduardo dos Santos et la domination coloniale portugaise (1&2)

Tandis que la plupart des colonies françaises et anglaises accèdent en cascade à l’indépendance en cette année 1960, dans l’Afrique portugaise rien ne bouge. L’administration coloniale durcit même le ton en Angola et réprime systématiquement et impitoyablement les nationalistes. Les principaux leaders comme Agostinho Neto sont arrêtés et déportés. Le jeune José Eduardo dos Santos travaille lui aussi clandestinement, parmi les étudiants, au renversement de la domination coloniale portugaise.

José Eduardo dos Santos

Surnommé galo negro qui signifie le «coq noir», Jonas Savimbi est le principal fondateur en 1966 du mouvement politique et militaire UNITA, l'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola. Indépendance, révolution des œillets, élections, guerre civile... La vie de ce leader socialiste, pleine de rebondissements, s'arrête brutalement le 22 février 2002, lorsqu'il est tué par l'armée angolaise.

6- Afrique du Sud: la «Nation arc-en-ciel» en marche (11&12)

En Afrique du Sud en cette année 1990, le rétablissement des partis d’opposition, notamment l’ANC – le Congrès national africain – et le parti communiste, mais aussi la libération de Nelson Mandela n’ont pas vraiment calmé les tensions. On a même le sentiment qu’elles ont été exacerbées, et pas uniquement chez les extrémistes blancs qui refusent la mort annoncée de l’apartheid. Au sein de la communauté noire, ce n’est pas non plus la grande entente.

On compte plusieurs centaines d’assassinats dans des attaques au sein de plusieurs townships du pays. Excédé, Nelson Mandela demande une rencontre urgente avec le président De Klerk. Comment sortir de cette impasse ?

5- F. De Klerk : en Afrique du Sud, les premières élections libres et multiraciales (9&10)

En Afrique du Sud en cette année 1990, le rétablissement des partis d’opposition, notamment l’ANC – le Congrès national africain – et le parti communiste, mais aussi la libération de Nelson Mandela n’ont pas vraiment calmé les tensions. On a même le sentiment qu’elles ont été exacerbées, et pas uniquement chez les extrémistes blancs qui refusent la mort annoncée de l’apartheid. Au sein de la communauté noire, ce n’est pas non plus la grande entente.

On compte plusieurs centaines d’assassinats dans des attaques au sein de plusieurs townships du pays. Excédé, Nelson Mandela demande une rencontre urgente avec le président De Klerk. Comment sortir de cette impasse ?

4- Frederik De Klerk, président d’une Afrique du Sud au bord de l’implosion (7&8)

En Afrique du Sud en cette année 1990, le rétablissement des partis d’opposition, notamment l’ANC – le Congrès national africain – et le parti communiste, mais aussi la libération de Nelson Mandela n’ont pas vraiment calmé les tensions. On a même le sentiment qu’elles ont été exacerbées, et pas uniquement chez les extrémistes blancs qui refusent la mort annoncée de l’apartheid. Au sein de la communauté noire, ce n’est pas non plus la grande entente.

On compte plusieurs centaines d’assassinats dans des attaques au sein de plusieurs townships du pays. Excédé, Nelson Mandela demande une rencontre urgente avec le président De Klerk. Comment sortir de cette impasse ?

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